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Actualités
On vous emmène dans le Sud de la Vallée du Rhône, à la découverte d’un terroir reconnu mais malheureusement trop méconnu, où les vins ont de la personnalité, de la prestance et, pour tout dire, de l’élégance : à découvrir Rasteau, Cru des Côtes du Rhône.
Rasteau est situé dans le département du Vaucluse entre Orange et Vaison-la-Romaine, les producteurs de l’appellation Rasteau produisant deux types de vins : Le Rasteau rouge est produit exclusivement sur la commune de Rasteau, et les vins doux naturels sous l’appellation spécifique Rasteau VDN (Blanc, Rosé, Grenat, Ambré, Tuilé, Rancio).
Principalement issus des cépages Grenache, Syrah et Mourvèdre le Rasteau rouge est un vin intense, charpenté, parfois tannique et surtout très aromatique : des notes de fruits noirs et de violette, parfois de fruits confits le tout relevé par un soupçon d’épices. Le Rasteau VDN Grenat quant à lui présente des arômes de fruits noirs bien mûrs, des épices, des notes de sous–bois et de cacao formant un tout charpenté toujours très velouté.
L’accord parfait, l’accord classique ?
A vin intense et charpenté, nous dirons donc plats tout aussi intenses et aromatiques. Traditionnellement, le Rasteau rouge se marie parfaitement bien avec le gibier : sanglier, chevreuil, faisan, perdrix… Des viandes de caractères avec des arômes puissants généralement cuisinées en daube, en civet, en terrine ou tout simplement rôties au four, sublimées par des épices et des aromates : une véritable symphonie aromatique avec le Rasteau rouge, si ample, si souple, si dense, si fruité.
Le vin sublime le plat et vice-versa, c’est un accord parfait.
Et si on sortait des sentiers battus ?
Le Rasteau se mariera tout aussi parfaitement avec d’autres plats même si l’accord vous semblera, de prime abord, parfaitement improbable. Si vous voulez sortir des sentiers battus et étonner vos convives avec un Rasteau pendant les repas des fêtes, suivez nos propositions en collaboration avec l’AOC des vins de Rasteau.
On met l’accent sur le plat principal. Oui c’est quand même la clé d’un repas réussi. Et on vous propose bœuf ou canard, en fonction de vos envies
Suggestion originale, n’est-il pas ? Voici un plat qui donne envie de cuisiner avec amour pour la famille, une belle viande rouge enveloppée dans une pâte feuilletée délicatement dorée au four sous laquelle se cache une duxelles de champignons, de châtaignes, de petits lardons et quelques épices…
Accompagné d’un…Rasteau rouge, exactement ! Pour son caractère fruité (fruits noirs bien mûrs) et épicé, son côté dense et charpenté, la souplesse de ses tanins et sa longueur en bouche qui iront à merveille avec la délicatesse du filet de bœuf. Un vin à servir à température ambiante et sans carafage.
Le canard mariné à l’aigre doux et son tartare de mangue au citron vert
Toujours plus original pour un repas de Noël, mais quel régal en perspective ! Pour le réveillon, ce sera un magret de canard du Sud-Ouest mariné à l’aigre douce (miel, vin doux, épice) et servi finement tranché avec un tartare de mangue, très frais et fruité relevé par le citron vert.
Ici, un plat avec un soupçon de sucre appelle un Rasteau VDN doré, sans aucun doute : ses arômes d’épices, de cacao et de vanille vont se fondre avec celle, plus puissante, du canard et celles, plus délicates, du tartare. Il devra être servi frais (5-7 °C).
Si vous en voulez davantage : Macarons de saumon et crème de chèvre citronnée et macarons poire belle Hélène.
Ou le dessert : Marquise chocolat au croustillant de noix & coulis de quetsches au vin doux naturel
Vous allez vous régaler ! Et ce sera une belle occasion de faire connaître à vos proches les délices des vins de Rasteau sur des accords mets / vins absolument extraordinaires.
Bonnes fêtes et bonne dégustation, toujours avec modération.
On a tous en tête l’image du vin qui tourne délicatement dans le verre, une promesse d’arômes… Une belle image d’Épinal n’est-ce pas ? Mais aussi théâtrale soit-elle, l’aération du vin est une nécessité et nous allons vous expliquer pourquoi.
C’est pas sorcier !
La clef, c’est l’air. En fonction de leur style, du ou des cépages utilisés, certains vins présentent des arômes plus ou moins perceptibles quand on ouvre la bouteille. Les arômes, molécules complexes, sont bien présents mais endormis, il faut les réveiller… avec de l’air ! Une fois combinés à l’oxygène, les arômes sont oxydés et libèrent ainsi leur parfum.
Quand devons–nous aérer un vin ?
Tous les vins ne sont pas égaux face à l’oxygène :
- Les vins très tanniques doivent généralement être aérés. Les Médoc, par exemple, dont le principal cépage est le Cabernet Sauvignon, sont souvent charpentés et tanniques et ne seraient agréables ni au nez, ni en bouche sans aération.
Les arômes apparaîtront progressivement, d’abord timidement, puis de plus en plus au fur et à mesure de la dégustation. Le vin évoluera aussi, il vous semblera plus souple, plus facile à boire.
- Et inversement, les vins très fruités, faits pour être bus jeunes, n’auront généralement pas besoin d’aération (ou très peu). On peut citer comme exemples les rouges fruités de la vallée de la Loire et du Beaujolais (cépage Gamay), et les délicats Bourgogne rouges (cépage Pinot Noir) qui s’oxydent très rapidement lorsqu’on les remue dans le verre, perdant leurs arômes de fruit, jusqu’à parfois littéralement tourner au vinaigre.
- Et puis vous avez les intermédiaires, on peut les aérer ou pas, ou un peu mais pas trop… Certains rouges de Touraine, par exemple, il n’y a pas de règles pour eux, ouvrez, goûtez et faites-vous votre avis.
Mais le cépage n’est pas le seul paramètre…
- Le millésime : Certains vins jeunes ont besoin d’air pour s’ouvrir, mais certains vins vieux aussi… Dommage.
- La vinification : C’est la façon de produire du vin, elle influe sur le style (fruité ou concentré), impliquant ou pas d’aérer.
- La couleur ! Eh oui, les vins blancs sont très sensibles à l’oxydation, même une légère aération va modifier leurs arômes, et pas dans le bon sens…Donc non, on n’aère pas un vin blanc, pas plus qu’on ne le carafe.
Une solution s’il vous plaît !
Aveine, une start-up française de la WineTech, s’est justement penché sur la question. Ensemble ils ont créé le premier aérateur de vin connecté ! On place l’aérateur sur le goulot de la bouteille, on scanne l’étiquette et on sert le vin, c’est aussi simple que ça. Selon le vin servi, l’aérateur insuffle instantanément la quantité d’air nécessaire. Le vin est donc immédiatement prêt à être dégusté !
Aérer ou ne pas aérer ? Telle est la question… Nous espérons que ces quelques conseils vous aideront à y voir plus clair ! Bonne dégustation, mais toujours avec modération.
Noël approche, si, si, je vous assure ! La télé et la radio passent le message en boucle, les catalogues de jouets inondent les boites aux lettres : le 24 décembre arrive avec ses gros sabots ! Du coup, ça démange les enfants : la lettre au Père Noël…Mais les adultes aussi ont le droit de faire leur lettre au Père Noël ;-)
"Cher Père Noël, j’ai été bien sage cette année et je voudrais que tu m’apportes du vin de garde pour Noël, de belles bouteilles que je pourrais laisser vieillir tranquillement dans ma cave. Blanc, rouge, sec, doux, je te laisse choisir.
Merci Père Noël."
On ne s'y prend jamais trop tôt pour réfléchir au repas du réveillon. Et c'est un fait, il approche déjà à grands pas. Si si, vous verrez, Noël sera très vite arrivé ! Pour la liste des convives, c'est plutôt facile, pour nous, c'est la famille avant tout. Le sapin trônera dans le salon et on sortira la belle vaisselle. Apéritifs, entrées, plats, desserts, c'est le moment de sortir le grand jeu.
Qu'il y ait du foie gras, des huîtres ou même du saumon pour l'entrée, on en a déjà l'eau à la bouche. Mais au fait, que pouvons–nous boire avec nos entrées pour le réveillon ?
Une chose est sûre, tous les vins ne vont pas avec tous les plats. Mais il y a des incontournables de Noël, des « classiques », même sur les entrées. Nous vous avons listé les principales entrées pour le repas du réveillon et voici, en avant-première, nos suggestions d'accords entrées & vins proposés par l’équipe TWIL :
- Les coquillages et crustacés : Le réveillon de Noël implique des coquillages et plus particulièrement des huîtres. Dans ce cas, il faut un vin blanc, frais, avec des notes fruitées et une belle acidité : un Sancerre avec ses notes de pommes vertes ou un Riesling, plus aromatique, avec des arômes de pêche, d’abricot et de fleurs blanches. Nous vous conseillons aussi une version plus gourmande peut-être, avec un vin blanc de Graves ou de Pessac-Léognan, avec des petites notes de noisette qui s'associent harmonieusement aux huîtres. Mais, pour ceux qui préfèrent avoir l'embarras du choix, on peut opter pour le plateau de fruits de mer avec du crabe, des crevettes, des langoustines, du homard…Nous aurons besoin d’un vin blanc sec et minéral : un Petit Chablis pour le côté minéral avec une belle acidité. Mais rien n'empêche de se laisser tenter par un vin un peu plus dense, plus riche : un Chablis Premier Cru ou un Condrieu, très amples et parfumés. Pour ceux qui préfèrent les bulles, essayez avec un Champagne Blanc de Blancs de la Côtes des Blancs.
- N’oublions pas le traditionnel saumon fumé ! Le gras et le fumé du saumon se marieront parfaitement avec, encore une fois, un vin blanc frais : un Pouilly Fumé ou un Montlouis, plus fruité, seront parfaits, leur acidité « coupera » le gras du saumon, lui donnant un côté plus fin et plus léger.
- L'autre entrée phare du réveillon est évidemment le foie gras. Il peut être servi poêlé ou froid sur toast. Attention à l’accord avec le vin car ce sont deux mondes très différents :
- Un foie gras poêlé est plus gras et plus aromatique, il s’accordera à merveille avec un vin…. Rouge, ou rouge ! : un Chinon sera parfait. Mais l’option vin blanc reste ouverte, un Savennières dont le fruité délicat s’harmonisera parfaitement avec le foie gras poêlé.
- Avec le foie gras, pour les toasts, Deux possibilités : un vin blanc sec et aromatique, un Gewurztraminer (une jolie acidité en fin de bouche allège le palais) ou un Saumur blanc. Ou sinon, l’accord classique par excellence, pour les plus gourmands, le Sauternes ou le Barsac.
Attention cependant avec les vins sucrés, ils peuvent provoquer une saturation des papilles, vous ne sentiriez plus les délicats arômes des autres vins servis au cours du repas. N’hésitez pas à boire de l’eau régulièrement. Elle « nettoiera » le sucre laissé par le vin doux. Vous pourrez ainsi profiter pleinement de la suite de votre réveillon et de toutes ses saveurs.
Voilà quelques pistes proposées par l'équipe TWIL pour vous aider à sublimer les entrées de votre réveillon.
Vous avez pensé au Champagne pour l'apéritif ? Et pour la suite du réveillon ? Nous vous proposons des accords vins & plats, vins & fromages et vins & desserts pour un réveillon au top !
Le bon plan dans une foire aux vins n’est pas qu’une question de prix ou de promotion : une bonne affaire est l’adéquation entre ce qui est proposé, ce que vous recherchez et le prix que vous acceptez de payer.
Voici quelques astuces pour trouver cet oiseau rare :
- Connaître et confronter les offres : chaque année, les catalogues de foires aux vins fleurissent en septembre, alors n’hésitez pas à confronter les propositions et les prix, faites-vous votre avis sur ce qui est proposé et vous saurez où acheter au meilleur prix.
- Déterminer le budget : Attention à la fièvre acheteuse ! Faites-vous plaisir dans des limites raisonnables. Commencez par faire le point : quels sont les besoins (vins de garde, consommation rapide) ? Quelles proportions ? Quelle gamme de prix ? Votre budget n’est malheureusement pas extensible. Si votre budget initial n’est pas intégralement consommé, profitez de ce rab pour aller vers des bouteilles plaisirs, des révélations, pour découvrir des vins étrangers (Italie, Etats Unis, Espagne, Argentine…) ou des cépages particuliers. Vous n’êtes jamais à l’abri d’un coup de cœur lors d’une dégustation (pensez à les twiler).
- Estimer le nombre de bouteilles : Certaines offres vous ont tellement convaincu, pourquoi se limiter à une caisse ? Ne perdez pas de vue que le vin doit être correctement conservé, inutile d’acheter en grande quantité si vous ne pouvez pas stocker correctement. Fixez-vous dès le départ un nombre de bouteilles maximum.
- Les appellations et les régions : le Languedoc-Roussillon, le Sud-Ouest, la Loire ou le Beaujolais sont moins des régions moins prisées que Bordeaux ou la Bourgogne par exemple, elles produisent pourtant des vins avec un excellent rapport qualité-prix. Concernant le Bordelais, visez les seconds vins des grands crus qui vous apporteront la qualité du grand vin, sans les inconvénients du prix. Les crus bourgeois et les appellations comme Médoc, Bordeaux Supérieur ou Côtes de Bordeaux produisent également de très belles choses tout à fait abordables. S’agissant de la Bourgogne, il n’y a pas que Pommard et Gevrey-Chambertin. Laissez-vous tenter par un Santenay ou une Hautes-Côtes-de-Nuits pour les rouges, Pouilly-Vinzelles, Rully ou Bourgogne Aligoté pour les blancs, souvent de belles surprises.
- Les producteurs : On est souvent rassuré par les grands noms, une garantie de qualité pour le consommateur. Pour autant, certains sites spécialisés comme fr ambitionnent pendant les foires aux vins, mais pas exclusivement, de faire découvrir des artisans-vignerons, des cuvées plus confidentielles, parfois des exclusivités avec toujours de très bon rapport prix / plaisir.
- Les médailles des salons : Elles sont de bons indicateurs à condition que l’appellation de la bouteille et le salon soient cohérents : une médaille du salon de Strasbourg décernée à un Bourgogne ou un Bordeaux n’a pas grand intérêt, en revanche, une médaille du salon de Macon décernée à un Bourgogne rend la bouteille nettement plus prometteuse.
Vous avez une question, un doute ou simplement besoin de recommandations ? Les conseillers TWIL seront ravis de vous répondre et de vous aider.
Profitez bien de cette nouvelle foire aux vins, et n’oubliez pas de consommer ce merveilleux breuvage avec modération.
Après tout le stress du déménagement, rien de tel qu’une bonne pendaison de crémaillère entre amis pour oublier le frigo d'une tonne que vous avez monté sans ascenseur et célébrer votre nouveau logement. On vous donne toutes les astuces pour une pendaison de crémaillère au top !
Un repas sur le pouce
Pas besoin d'imiter les chefs étoilés ce soir, les petits fours feront l'affaire ! Pas forcément besoin d’un repas complet, surtout si vous n'êtes pas encore bien installé, optez pour des petits mets sans cuissons ou des choses à grignoter. Vous trouverez de nombreuses idées de recettes rapides en ligne pour votre crémaillère.
Tchin-tchin !
Le point clé d’une pendaison de crémaillère réussie réside dans le choix des boissons. Accommodez-vous selon vos moyens techniques (taille du frigo, cave...) et votre budget. Un Côtes-de-Provence rosé ou un rouge léger, type Morgon, mettront tout le monde d’accord pour l’apéritif. Vous pouvez proposer des bulles (Champagne ou Prosecco, selon votre budget) pour marquer le coup. Pensez à mettre la bouteille au frais quelques heures avant et n’oubliez pas de "twiler" toutes vos cuvées pour en savoir plus sur chacune d’entre elle (température de service, accords mets & vin...)
Une petite ambiance musicale
La musique peut vous faire couronner roi/reine de la soirée ou bien vous coller une étiquette de mauvais DJ pour le restant de vos jours. Concoctez une playlist à l’avance et faites-vous aider s’il le faut, mieux vaut éviter la soirée où chacun veut mettre sa nouvelle trouvaille. En cas d’absence d’inspiration, les playlists sur YouTube peuvent vous dépanner. Si vous êtes abonnés à des plateformes de streaming payantes, utilisez les playlists réalisées par les rédactions qui sont souvent appropriées selon les thématiques. N’oubliez pas de souscrire à un abonnement auprès d’une compagnie d’électricité et d’un fournisseur internet si vous voulez pouvoir brancher le frigo et envoyer du son. Vous trouverez ici tous les moyens de contacter Free (téléphone, mail, courrier...) pour souscrire à une offre Freebox à un tarif très attractif ou obtenir une assistance technique.
Et la déco ?
N’hésitez pas à laisser traîner quelques cartons pour garder une ambiance de déménagement. Sinon la soirée à thème ça marche à tous les coups (années 80, viens comme on ne t’a jamais vu, soirée romaine…), à condition de prévenir tout le monde à l’avance.
Un dernier conseil : invitez vos nouveaux voisins pour être sûr(e) de ne déranger personne.
Dégustation, food-trucks et et musique, c'est le programme de "Quand VIN le Soir", le rendez-vous annuel de l'appellation Rasteau. Si vous êtes de passage dans la région, profitez du grand bar à vin éphémère au cœur du village de Rasteau dans le Vaucluse avec ses 3 soirées évènements autour des vins de l'appellation.
Retenez bien ces trois dates :
Mercredi 11 Juillet - Mercredi 18 Juillet - Mercredi 1er Août
Si vous êtes de passage dans la région, n'hésitez pas à vous arrêter sur la place du village. Chez Twil quand on aime, on recommande !
Les meilleures cuvées de Rasteau Rouge, Côtes du Rhône Blanc ou Rosé et Vin Doux Naturel n'attendent que vous, avis aux amateurs.
Nouveau critère d’achat pour certains, mode passagère pour d’autres. Décryptons ensemble le système d'achat en circuit court.
Un circuit court est un circuit de distribution réduit au maximum que le Ministère de l’Agriculture définit comme « un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu'il n'y ait qu'un seul intermédiaire. ». Le principe même du circuit court est de rapprocher les producteurs et les consommateurs (plus de contact humain).
Plusieurs acteurs tentent de réduire le parcours des produits finis. Pour des questions de temps et de ressources, un vigneron ne commercialise pas forcément ses vins lui-même. Il fait parfois appel à des négociants qui l’aideront à vendre son vin. Le circuit de distribution est court. De façon encore plus directe, Twil accompagne les vignerons dans leurs ventes et les rapproche des consommateurs. Twil n’agit pas comme un intermédiaire, mais comme un conseiller (commercialisation, marketing, facturation…).
Mais dans le meilleur de cas, le circuit court permet un lien direct au producteur lui-même.
Les intérêts majeurs d’un tel circuit sont le prix et la traçabilité.
En effet, acheter en direct producteur signifie souvent acheter à un prix avantageux. En effet, ce prix, c’est le prix direct propriété, comme si vous alliez chercher vous-même votre commande de vin au domaine. C'est bien connu, les viticulteurs, tout comme les agriculteurs, sont généralement asphyxiés par les acteurs de la grande distribution qui, en négociant des prix planchers, souvent cassés, cherchent à récupérer la marge la plus élevée. Grâce au circuit court, et en particulier à l'achat en direct au domaine, le prix établi est le prix le plus juste car il permet de rémunérer correctement le travail de l’artisan-vigneron en court-circuitant les intermédiaires.
Moins d’intermédiaires = moins de marge prise par chacun = prix plus juste = plus de rémunération pour le producteur
Quel chemin plus court que le direct producteur ? Derrière la bouteille, il y a le vigneron et seulement lui ! Ce dernier est le mieux placé pour parler de ses vins et pour proposer ses produits. C'est une garantie de traçabilité, de transparence et de confiance avec le consommateur. Sa cave, où il conserve précieusement ses flacons, et la vôtre ne sont plus finalement séparées que de quelques kilomètres. Et si le vigneron pouvait vous apporter lui-même ses bouteilles, celles que vous avez aimé et commandé, soyez certain(e) qu'il le ferait ! Mais comme il ne peut pas être partout à la fois (à la vigne, au chai, au caveau...), c'est à ce moment-là que nous, TWIL, nous intervenons.
Moins d’intermédiaires = moins de perte d'informations = plus de confiance
Alors la prochaine fois que vous achetez du vin, pensez circuit court, pensez producteur, et Twil ;-) Vous n'aurez jamais été aussi proche du producteur du vin que vous aimez.
Nous sommes tous tentés de nous ruer sur les offres plus alléchantes les unes que les autres. Mais après l’achat, une question se pose : comment bien conserver son vin? Voici quelques tips pour profiter pleinement de ses achats.
La cave : si comme nous vous n’avez pas de cave creusée en pierre de taille, ce n’est pas un problème ! Les caves d’intérieur existent, pour notre plus grand plaisir.
- Le casier en liège est une solution très pratique et peu onéreuse. Elle permet de garder les bouteilles bien à l’horizontal, position idéale pour la conservation du vin.
- Les caves “high-tech” permettent quant à elles de reproduire les conditions des caves en terre battue (température entre 10° et 14°, humidité contrôlée…) dans un frigo adapté aux petits espaces. En bref, il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses.
Le bouchon : choisir une bouteille avec un bouchon en liège naturel est sûrement le meilleur moyen de s‘assurer un vieillissement optimal du vin. Mais un bouchon synthétique convient tout à fait pour un vin de moyenne garde (environ 5 ans).
Le vin : afin de s’assurer une bonne garde, le mieux est encore de choisir un vin qui s’y prête dès le départ.
- Les vins rouges tanniques, généralement présentant un degré d’alcool plus élevé, sont des vins qui se conservent très bien, comme les Châteauneuf-du-Pape du Domaine l’Or de Line qui peuvent se conserver de 10 à 15 ans. D’une manière globale, les vins rouges sont ceux qui se conservent le plus longtemps.
- Concernant les vins blancs, les sucrés (vins moelleux et vins liquoreux) sont une exception puisque le sucre leur permet également de se conserver plus longtemps. Le Château d’Yquem par exemple, domaine d'exception qu’on ne présente plus, produit des vins qui peuvent se conserver jusqu’à plus de 30 ans.
- Les rosés et les blancs secs, comme le Saint-Véran d’Albert Bichot ou le M de Minuty, se boivent d’ordinaire relativement jeunes afin d’en apprécier toute leur fraîcheur.
La température: pour que les vins vieillissent de la meilleure des manières, la température idéale est 12°C. Cependant, si vous ne comptez pas vieillir vos vins très longtemps, cette température ne sera pas adaptée: elle assure un vieillissement lent. De plus, ce qu'il faut surveiller en priorité, ce n'est pas la température en elle-même mais ses variations. Il faut éviter à tout prix les chocs thermiques. Dans tous les cas, ne jamais dépasser 18°C.
Mais pas de panique, vin de garde ou pas, le principal reste le plaisir que nous procure chaque gorgée.
Alors n'hésitez pas à vous faire plaisir avec notre séléction de vin de garde. Bonne nouvelle, certains seront bientôt à leur apogée !
Et TWIL dicta ses bonnes paroles pour rafraichir le Vin :
1) Les températures de service du vin tu apprendras
Les vins rouge charpentés se dégustent entre 15-18°C, donc pas besoin de les rafraichir. Les rouges plus légers peuvent se consommer entre 13-15°C. Les vins blancs secs (vifs acidulés) se dégustent entre 10 et 13°C. Et tous les autres vins (rosés, moelleux, effervescents) se consomment entre 8 et 10°C, à rafraichir absolument pour votre plus grand plaisir !
2) Les glaçons tu oublieras
Afin de ne pas dénaturer le vin, il ne faut pas y ajouter d'eau. On oublie donc les glaçons qui dilueraient ce nectar.
3) Des grains de raisins tu congèleras
C'est bien connu, les fruits c'est bon pour la santé ! Et bien, c'est bon pour le vin aussi. Comme il ne faut pas rajouter de glaçons, on peut les remplacer par des fruits gelés ! Placez des grains de raisins dans le congélateur. Une fois qu'ils sont congelés, sortez-les et déposez-les dans vos verres de vin. L'effet est immédiat et on parie que vous allez « croquer » !
4) Un seau à glaçon tu utiliseras
Pour maintenir votre bouteille fraiche sans la remettre constamment au réfrigérateur, utilisez un seau à champagne, remplissez-le de glaçons et plongez y votre bouteille, au moins jusqu’à hauteur de l’épaule (de la bouteille, pas la votre, là ou la bouteille commence à s’évaser).
5) Du sel tu verseras
Le sel, véritable or blanc, permet de rafraichir le vin ! Mélangé avec de la glace et de l'eau, il permet de faire baisser la température de refroidissement jusqu'à -10°C. Versez-le tout dans le seau et plongez-y votre bouteille.
6) Le congélateur tu banniras
Certes c’est la solution de facilité à laquelle tout le monde pense instinctivement. Mais un refroidissement trop brusque et trop intense tue les arômes du vin.
7) Le réfrigérateur tu préfèreras
Une autre technique efficace pour rafraichir rapidement une bouteille consiste à imbiber un torchon d’eau froide et d’y rouler la bouteille avant de la placer au réfrigérateur.
Toutes ces astuces vous permettront de savourer votre vin à bonne température, car rien ne vaut un verre de vin bien frais pour profiter de l’été !
La coupe du monde de foot : le seul moment de l’année où tous les Français (ou presque) sont d’accord. Tout le monde est rassemblé autour d’une potentielle victoire et la bière est souvent la reine des tables basses. Et si pour une fois on innovait un peu, pourquoi ne pas déguster du vin pendant un match ?
Coup d’envoi
Tout le monde est installé, la balle est lancée et tous les espoirs sont encore permis. Commencez en douceur avec le Carignator, à ouvrir de préférence pendant la Marseillaise pour le plus bel effet.
Mi-temps
C’est le moment d’encourager votre équipe. Même si vous n’êtes pas dans le stade mais plutôt seul devant votre télé ou dans un bar avec des amis, une seule solution : le Chant du Coq.
Prolongation
Le stress est à son comble. La victoire (ou la défaite) est proche. Vous espérez un coup de maitre de dernières minutes d’Antoine Griezmann ou d’Olivier Giroud. Pour exaucer vos voeux, tenez bien fort dans vos mains la Cuvée Antoine ou la Cuvée Olivier. On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher.
N’oubliez pas de réserver une bouteille de champagne au frais en cas de victoire (ou de défaite pour éponger votre tristesse) !
Renverser du vin rouge est certainement la plus sordide des choses à faire lors d’une soirée, surtout s’il atterrit sur le canapé de l’hôte. Mais pour les Grecs anciens, une fête n’en était pas vraiment une si le vin ne coulait pas librement. En effet, ils jouaient à un jeu appelé « cottabe » qui consistait, sobrement, à jeter du vin. Ce jeu était très populaire au Ve et IVe siècle av. J.-C, auprès des femmes comme des hommes et pratiqué lors de banquet. Certains riches citoyens y consacraient même une pièce entière.
Quelles sont les règles ?
Il existe plusieurs variantes du jeu. La première version consistait à placer sur le sommet d’une perche un disque en bronze, appelé « plastinx ». Une fois leur verre de vin quasi finis, les joueurs jetaient le fond de vin en direction du disque dans le but de le faire tomber. À la différence, la deuxième version inclut des petites soucoupes remplies d’eau placée sur le disque, le but étant de les renverser. Le jeu a, par ailleurs, un but divinatoire : avant de lancer le verre, le participant doit crier à haute voix le nom d’une personne aimée, si le disque tombe le succès amoureux est assuré.
Mais attention, le jeter de vin ne s’effectue pas n’importe comment. Un geste spécial est requis. Le bras est tendu, le poignet cassé, le joueur porte le verre qui comptait à l’époque une anse, par un ou deux doigts et lance son contenu par rotation. La technique se rapproche fortement du mouvement du lancer de javelot.
Devenir un pro du lancer de vin, ce n’est pas à la portée de tout le monde.
De derrière les fagots : ce dit d’un objet d’une qualité exceptionnelle, rare, exclusif et surprenant.
Origine
L’expression vient du XVIIIe siècle. Elle s’appliquait alors au vin, celui qu'on remontait de la cave où il avait été soigneusement conservé, caché derrière les fagots de bois, stockés pour l'hiver. Les fagots, ce sont de fines branches retenues entre elles et destinées à faire démarrer un feu.
Ce vin, gardé derrière les fagots, était bu pour les grandes occasions. La locution a fini par se généraliser, dans un sens figuré, à tout ce qui est d'une très grande qualité, ce qui est excellent, rare ou même surprenant.
« Le tout arrosé de quatre sortes de vins vieux et parfaits : Sauternes, Beaune, Pouilly, et je ne sais plus quoi, de derrière les fagots. »
André Gide - Journal
Aujourd'hui
Certains vignerons utilisent encore aujourd'hui des fagots de vigne qui sont placés devant les vannes d'écoulement, à l'intérieur des cuves de fermentation des vins rouges. Ces fagots permettent au jus de s'écouler tout en retenant les pépins de raisin et autres débris qui pourraient obstruer les pompes. Dans ce cas, c'est, le sens propre, du vin de derrière les fagots que l'on obtient.
L’idée peut sembler farfelue, mais pourtant, le vin serait bonifié grâce à la musique. C’est en tout cas ce que qu’affirme une start-up qui s’est lancée dans le projet.
COMMENT ÇA MARCHE ?
Pendant les 3 semaines de fermentation et avant l’élevage, le vin est bercé par de la musique via des enceintes placées en contact direct avec les cuves. La musique en elle-même n’a pas d’effet, ce sont ses vibrations qui en ont. Les vibrations vont stimuler les levures naturelles du vin, le milieu aqueux facilitant son impact. Ainsi, même lorsqu’il est en cuve, le vin est en mouvement et travaille activement.
Résultat : les arômes sont plus développés, le vin plus fruité, sa typicité plus marquée. Alors le vin est-il plutôt branché pop, rock ou heavy métal ? Pour l’instant, les tests n’ont été pratiqués qu’avec du jazz et de la musique classique, mais a priori tout genre musical peut fonctionner, le plus important étant les vibrations. Pour s’assurer des résultats obtenus, les domaines qui se sont lancés dans le projet ont élevé 2 cuves différentes : une soumise aux vibrations et l’autre non. Lors de la dégustation à l’aveugle, les vins musicaux étaient plus appréciés. Le résultat semble donc prometteur et quelques vignerons ont déjà adopté la méthode.
Cette drôle d'expérience de garage semble donc prendre racine. Le principe de vinification musical reste cependant perçu par beaucoup comme un plan communication, sans réel impact sur le vin. La start-up a en tout cas déposé un brevet pour son idée.
Attendons encore un peu pour voir si la tendance va se propager et si les chansons d’Henri Dès peuvent influencer le vin.
Si vous n'avez pas encore vu ces classiques, ou si vous souhaitez les revoir une enième fois, servez-vous le vin qui s'accordera parfaitement avec...
Jurassic Parc : Il pleut dehors, la clôture électrique vient de court-circuiter et le T-Rex est en liberté. C’est le moment de se réfugier avec un vin courageux et intrépide comme le docteur Alan Grant. On vous conseille un Zinfandel, sa structure tannique vous aidera à tenir le coup.
Shining : Quand il est question de film d’horreur, de Jack Nicholson, et de Stanley Kubrick, il est préférable d’avoir le cœur bien accroché : le vin rouge Sans Peur devrait vous faire oublier les jumelles maléfiques et la hache de Johnny.
Saturday night fever : John Travolta, BeeGees et dancefloor quoi de mieux que le Certitude Rosé et son étiquette funky pour vous ennivrer dans cette fièvre du samedi soir.
Star Wars (privilégiez les épisodes 4, 5, 6) : Entre Leia Organa, Jabba le Hutt et un verre de lait bleu, difficile de trouver du temps pour s’ouvrir une bouteille. Faites honneur à Obi-Wine Kennobi avec un vin en biodymanie, parce que c’est aussi un peu de la science-fiction.
Le Silence des Agneaux : Parfait si vous avez des amis au dîner, je veux dire à dîner. Nous vous conseillons l’accord met vin d’Hannibal lui-même qui ne jure que par le Chianti servi avec un foie accompagné de fèves au beurre. On vous laisse choisir l'origine de la viande.
Titanic : Vous êtes à bord du plus insubmersible des navires (canaux de sauvetages en moins) en direction des Etats-Unis. Jack Dawson ou Rose est à vos côtés. Tout n’est que luxe et volupté. Servez-vous une coupe de Heidsieck Monopole Blue Top, c'est le champagne qui avait été embarqué à bord !
Forrest Gump : En hommage à Bubba Gump, vous ne manquerez pas de regarder ce film (pour la 10ème fois) avec une assiette de crevettes. Et pour accompagner les crevettes, rien de tel qu'un muscadet !
Ce n’est nouveau pour personne, sauf peut-être Donald Trump, mais notre planète souffre de plus en plus du réchauffement climatique qui mènera à des augmentations des températures de 4 à 6 degrés d’ici 2050. Et, tout comme les glaciers de nos montagnes ou la banquise en Arctique, nos vignes témoignent des changements climatiques.
Quelles sont les conséquences ?
Une première conséquence directe du réchauffement climatique est déjà ressentie par les vignerons : les vendanges prématurées. Depuis 1980, les vendanges se font 3 semaines plus tôt. 3 semaines qui risquent de se transformer en mois d’ici quelques années. Les vignes sont vendangées plus tôt sous une forte chaleur risquant d’abimer le raisin. La maturité précoce entraine un taux de sucre plus élevé, qui lui-même augmente le taux d’alcool, influençant grandement le goût des vins. Les vins du Languedoc ont ainsi pris 1,5 degrés d’alcool en 30 ans. Au final, cela fait diminuer l’acidité des vins blancs et rosés et donne aux rouges des arômes plus « confiturés ».
Certes, ce changement climatique fait reculer des maladies comme le mildiou. Mais les répercussions sur les vignes sont d’autant plus préoccupantes que la vigne est la culture la plus sensible aux conditions météorologiques. La hausses des températures provoquent des catastrophes climatiques (sécheresse, canicule, inondation, etc.), détruisant vignes et matérielles.
Le réchauffement conduira d’ici 2100 a des changements radicaux dans la production vinicole. La zone cultivable va ainsi se décaler de 100 km au sud et 500km au nord. La région bordelaise bénéficiera des conditions du Portugal, et l’Angleterre de celle de Bordeaux.
Résultat : d’ici 2050, 68% du vignoble européen devrait disparaitre.
Importée par les Romains, la culture du vin est ancrée en France depuis le 6e siècle avant notre ère. Le café arrivera bien plus tard dans l’Hexagone en 1644. Pourtant, aujourd’hui, le café est le breuvage le plus consommé en France après l’eau. Le vin quant à lui arrive en 4e position. À la différence du vin, le café est pour beaucoup perçu comme une boisson matinale et moins comme un nectar à déguster. Mais depuis plusieurs années, le café se dessine un avenir plus prometteur en France et une véritable « culture du café » est née, se rapprochant de plus en plus de la « culture du vin ».
Alors, peut-on déguster le café comme le vin ? Quels sont les points communs entre les deux breuvages ?
Production
Le vin comme le café sont des produits de terroir. C’est-à-dire que le terroir va avoir une influence considérable sur le résultat final. Pour le vin, l’influence est apportée par le sol, le climat, la biodiversité, la topographie. Le café est lui influencé par le sol, l’altitude et l’ombrage. Beaucoup de points communs, n’est-ce pas ? De plus, on pourrait comparer les cépages du vin aux différentes variétés de grains de café : moka, typica, bourdon, java, mondo nuevo pour n’en citer que quelques-uns.
Assemblage
Une fois les grains/raisins cultivés et récoltés, vient l’élaboration du nectar. Pour cela et pour les deux breuvages, il est possible de faire un assemblage de plusieurs variétés/cépages ou alors de n’en conserver qu’une seule. Pour le vin, on parle de pluri-cépages et mono-cépage. Le résultat final sera aussi influencé par la période de récolte, à maturité ou non, du choix/tri des grains/raisins puis de la torréfaction pour le café et du vieillissement pour le vin. La conception d’un vin ou d’un café c’est avant tout un art, un art calibré pour obtenir le meilleur du fruit dont il est né.
Toujours pas convaincu ?
Dégustation
On observe un rituel de dégustation très similaire entre les deux. Les étapes sont l’examen visuel, olfactif puis gustatif. Les dégustateurs cherchent alors des notes épicées, fruitées, fleuries, acidulées, boisées, corsées, torréfiées… Des dégustateurs et chercheurs américains ont créé une roue des arômes consacrée au café. Au total, plus de 85 arômes ont été répertoriés. Néanmoins, le café recense plus de 800 arômes encore imperceptibles pour beaucoup. Ce n’est pas sans rappeler la variété des arômes du vin.
Le café et le vin comme un art
Le vin et le café présentent un grand nombre de subtilités qui n’est pas à la portée de n’importe qui. Mentionnons pour cela le barista, comparable au sommelier, qui positionne le café comme un art gustatif. Le barista est souvent réduit à un barman qui dessine des feuilles sur la mousse des cafés. Bien cela ait permis au métier d’être plus connus du grand public, le barista est beaucoup plus que cela : il doit connaître crus et terroirs ; maîtriser la torréfaction et les différents modes d'extraction, le réglage des machines et les paramètres hydrométriques, qui peuvent aussi affecter l'arôme d'un café…En somme, il sublime le café comme le sommelier sublime le vin.
Finalement, qu’il soit question de vin ou de café une seule variable prédomine : la richesse des arômes. Alors, la prochaine fois que vous dégusterez un café, pensez-y.
Vous souhaitez en savoir plus sur le café ? N’hésitez pas à aller faire un tour sur le site de MaxiCoffee.
Présents sur toutes les bonnes tables de la gastronomie française, on ne présente plus les vins de Minuty. Construit sous Napoléon III, le Château Minuty est l'un des 14 Crus Classés de Provence. Il est situé sur la presqu'île de Saint-Tropez, dans le Var, et se concentre principalement sur des rosés haut de gamme, qui se distinguent par leur nervosité, leur fraîcheur et leur élégance.
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